1-12-10 http ://pas2012.free.fr/ blogs Plein emploi-stratégie volontariste Programme Alter socialiste.
Si nous ne nous mobilisons pas rapidement, les primaires ne seront pas à gauche, mais dans le microcosme Ps parisien, club des éléphants. On se répartit les fonctions. Dominique à l’Elysée, Ségolène à Matignon, Fabius à l’Assemblée Nationale, Martine présidente du Sénat,
Il n’y en qu’un qui est une attitude d’ indépendance : François Hollande, mais n’est-il pas marginalisé ?
Le programme ? Il sera bien pensant, attrape tout. Sécurité – Ecologie – Environnement –
avec un discours édifiant :- Réduire le chômage (Par qui ? quand ? Comment ? ) L’Elu y répondra
– Réduire le mal logement (Combien ? Qui ? quand ? Combien ? ) L’Elu y répondra
- Améliorer le système de santé, la Justice (Qui ? quand ? Où ?) L’Elu y répondra
- Moderniser le système d’Education Nationale ((Avec qui ? Quand ? Où ? Comment ? Combien ? ) L’Elu y répondra… Vous êtes durs d’oreille ? On vous le dit : L’Elu y répondra.
L’Elu y répondra. Celui du microcosme Ps parisien. C’est pas démocratique cette mise sur le pavois ?
Il nous faut des primaires de toute la gauche avec exposé synthétique des programmes pour choisir. Dans trois mois ce sera trop tard !
jeudi 2 décembre 2010
lundi 15 novembre 2010
15-11-10 http ://pas2012.free.fr/ blogs : Plein emploi-stratégie volontariste et Programme Alter socialiste.
France Inter nous a proposé ce matin une interview instructive de Dominique Strauss Kahn :
- Le FMI, réformé grâce à lui, est devenu un moteur de gouvernance mondiale du G20 à orientation de gauche. La pauvreté augmente, le chômage et nous n’avons pas vu ni compris cette réforme. Ingrats !
- Le FMI fait des prêts sans intérêts aux pays africains, mais nous ne saurons rien des taux de corruption à la tête de ces états.
- Sa rémunération est très élevée certes mais pas plus que celle de son prédécesseur……de droite.
- Il n’est pas social démocrate puisqu’il cite la gauche à chaque phrase et comme le FMI avec le G20 fait une politique de gauche, dormons tranquillement, braves gens. La finance mondiale veille pour vous sur les paradis fiscaux.
France Inter nous a proposé ce matin une interview instructive de Dominique Strauss Kahn :
- Le FMI, réformé grâce à lui, est devenu un moteur de gouvernance mondiale du G20 à orientation de gauche. La pauvreté augmente, le chômage et nous n’avons pas vu ni compris cette réforme. Ingrats !
- Le FMI fait des prêts sans intérêts aux pays africains, mais nous ne saurons rien des taux de corruption à la tête de ces états.
- Sa rémunération est très élevée certes mais pas plus que celle de son prédécesseur……de droite.
- Il n’est pas social démocrate puisqu’il cite la gauche à chaque phrase et comme le FMI avec le G20 fait une politique de gauche, dormons tranquillement, braves gens. La finance mondiale veille pour vous sur les paradis fiscaux.
lundi 25 octobre 2010
Développement intérieur.
25-10-10 http ://pas2012.free.fr/ blogs Plein emploi-stratégie volontariste Programme Alter socialiste.
Militer pour le plein emploi, fait rire à droite, provoque scepticisme à gauche. Remarquons que les rieurs et les sceptiques ont le plus souvent un emploi ou des revenus financiers ( Pourvu que ça dure ! ), une rentrée mensuelle nette par exemple supérieure à 2000 euros. On peut alors rester dans son clocher à regarder passer les nomades de l’économie.
1 – Le plein emploi = un travail et un revenu de dignité pour chaque citoyen = est un impératif de Justice sociale. Il nécessite des volontés fortes et des actions coordonnées des collectivités publiques
2 – Les tenants du « Travailler + plus pour gagner plus « sont dans une logique individualiste « qui privilégie en entreprises le rendement des capitaux particuliers. Allonger les périodes d’emploi de 60 à 62 ans aujourd’hui - demain probablement jusqu’à 65 ans - sont des échappatoires qui tablent sur une espérance de croissance molle qui stabilise le chômage et la précarité pour 10 millions de nos concitoyens.
3 – Une vraie croissance repose sur l’investissement intérieur pour une économie solidaire.
4 - On trouve probablement déjà au moins 500000 emplois, - dans un programme massif de rénovation de l’habitat et la construction de logements « accessibles « - dans des assistants formés de l’éducation nationale, - des infirmières, - des services de sécurité de proximité. 500000 emplois conventionnés, c’est à 30000 euros annuels, 15 milliards d’activités en plus ; soit des compléments de – 1, 5 milliards de TVA - 7,5 milliards de cotisations sociales et retraites.
5 - Comment financer ? Un impôt sur les revenus financiers des patrimoines en valeurs mobilières, la réduction progressive des exonérations fiscales et la traque de la fraude de ‘l’impôt. Moins de revenus d’un côté, plus d’emplois de l’autre, ce n’et pas de la solidarité, Monsieur le Président, seulement un début d’une plus grande Justice sociale
Militer pour le plein emploi, fait rire à droite, provoque scepticisme à gauche. Remarquons que les rieurs et les sceptiques ont le plus souvent un emploi ou des revenus financiers ( Pourvu que ça dure ! ), une rentrée mensuelle nette par exemple supérieure à 2000 euros. On peut alors rester dans son clocher à regarder passer les nomades de l’économie.
1 – Le plein emploi = un travail et un revenu de dignité pour chaque citoyen = est un impératif de Justice sociale. Il nécessite des volontés fortes et des actions coordonnées des collectivités publiques
2 – Les tenants du « Travailler + plus pour gagner plus « sont dans une logique individualiste « qui privilégie en entreprises le rendement des capitaux particuliers. Allonger les périodes d’emploi de 60 à 62 ans aujourd’hui - demain probablement jusqu’à 65 ans - sont des échappatoires qui tablent sur une espérance de croissance molle qui stabilise le chômage et la précarité pour 10 millions de nos concitoyens.
3 – Une vraie croissance repose sur l’investissement intérieur pour une économie solidaire.
4 - On trouve probablement déjà au moins 500000 emplois, - dans un programme massif de rénovation de l’habitat et la construction de logements « accessibles « - dans des assistants formés de l’éducation nationale, - des infirmières, - des services de sécurité de proximité. 500000 emplois conventionnés, c’est à 30000 euros annuels, 15 milliards d’activités en plus ; soit des compléments de – 1, 5 milliards de TVA - 7,5 milliards de cotisations sociales et retraites.
5 - Comment financer ? Un impôt sur les revenus financiers des patrimoines en valeurs mobilières, la réduction progressive des exonérations fiscales et la traque de la fraude de ‘l’impôt. Moins de revenus d’un côté, plus d’emplois de l’autre, ce n’et pas de la solidarité, Monsieur le Président, seulement un début d’une plus grande Justice sociale
samedi 23 octobre 2010
Auto referendum de légitimité
22-10-10 http ://pas2012.free.fr/
Notre démocratie » sociale « est réelle au niveau de la majorité de nos concitoyens. Ces dizaines de milliers de manifestants « bons enfants « six fois de suite, l’ont montré.
Dans le domaine de l’économie, elle est globalement satisfaisante. Les confrontations grévistes – non grévistes – patronat en spectateur, le prouvent.
Au plan politique par contre, avec Nicolas Sarkozy, nous avons atteint le point bas. 30 % de satisfaits de son comportement à la « hussarde «
Et nous voilà, que sur un sujet aussi important que celui de la « retraite « ( 1 quart de notre temps d’espérance de vie ) une loi « décalée « est édictée. Elle ne traite pas des causes, mais comptabilise seulement des conséquences.
1 – Le financement des retraites est fonction du niveau d’activité économique. Or la notre est en sous activité d’au moins 15 %. 4 millions de chômeurs – 6 millions d’emplois précaires - à temps partiel.
2 – 3 ou 4 % de croissance est un miroir aux alouettes. Il faudrait que les « grands entrepreneurs « pensent en terme d’intérêt général. Taux de profit et rentabilité les préoccupent davantage.
3 - Quelle croissance ? Celle des ventes d’armes ? Une France genre Disney land ? Nuits en goguette ? Hospices de campagne ?
4 - Les continents et pays en développement conçoivent leur prospérité à court et long terme selon leurs propres intérêts. Obtenir nos technologies et produire en sous-traitance pour nous.
Puisque au sommet de l’Etat, le débat démocratique est stérilisé, adoptons une démarche de « légitimité «. Une consultation auto référendaire par correspondance permettra de clarifier la volonté populaire.
Chaque citoyen électeur reçoit à domicile un bulletin d’opinion, avec au maximum dix questions.
- Oui – Non – réservé - Il est accompagné d’une enveloppe pré affranchie pour réponse à la Mairie dans la quelle il est inscrit ;
Il porte sur son bulletin son n° de carte d’électeur et le bureau de vote où il est inscrit. Le dépouillement est confié à des étudiants et des citoyens volontaires. Ne sont pris en compte que 70 % de bulletins sur le nombre total d’électeurs inscrits dans le bureau. On vérifie qu’il n’ y ait qu’un seul bulletin par n° sur la liste. Les regroupements sont faits par Commune, par Circonscription, par Département, par Région.
La consultation n’est pas un referendum Elle n’a donc pas force de loi. On peut espérer toutefois que si le nombre de participants est significatif, chaque député, à la vue des opinions émises dans sa circonscription, en tiendra compte au parlement. Sinon, il faudra changer de député.
Notre démocratie » sociale « est réelle au niveau de la majorité de nos concitoyens. Ces dizaines de milliers de manifestants « bons enfants « six fois de suite, l’ont montré.
Dans le domaine de l’économie, elle est globalement satisfaisante. Les confrontations grévistes – non grévistes – patronat en spectateur, le prouvent.
Au plan politique par contre, avec Nicolas Sarkozy, nous avons atteint le point bas. 30 % de satisfaits de son comportement à la « hussarde «
Et nous voilà, que sur un sujet aussi important que celui de la « retraite « ( 1 quart de notre temps d’espérance de vie ) une loi « décalée « est édictée. Elle ne traite pas des causes, mais comptabilise seulement des conséquences.
1 – Le financement des retraites est fonction du niveau d’activité économique. Or la notre est en sous activité d’au moins 15 %. 4 millions de chômeurs – 6 millions d’emplois précaires - à temps partiel.
2 – 3 ou 4 % de croissance est un miroir aux alouettes. Il faudrait que les « grands entrepreneurs « pensent en terme d’intérêt général. Taux de profit et rentabilité les préoccupent davantage.
3 - Quelle croissance ? Celle des ventes d’armes ? Une France genre Disney land ? Nuits en goguette ? Hospices de campagne ?
4 - Les continents et pays en développement conçoivent leur prospérité à court et long terme selon leurs propres intérêts. Obtenir nos technologies et produire en sous-traitance pour nous.
Puisque au sommet de l’Etat, le débat démocratique est stérilisé, adoptons une démarche de « légitimité «. Une consultation auto référendaire par correspondance permettra de clarifier la volonté populaire.
Chaque citoyen électeur reçoit à domicile un bulletin d’opinion, avec au maximum dix questions.
- Oui – Non – réservé - Il est accompagné d’une enveloppe pré affranchie pour réponse à la Mairie dans la quelle il est inscrit ;
Il porte sur son bulletin son n° de carte d’électeur et le bureau de vote où il est inscrit. Le dépouillement est confié à des étudiants et des citoyens volontaires. Ne sont pris en compte que 70 % de bulletins sur le nombre total d’électeurs inscrits dans le bureau. On vérifie qu’il n’ y ait qu’un seul bulletin par n° sur la liste. Les regroupements sont faits par Commune, par Circonscription, par Département, par Région.
La consultation n’est pas un referendum Elle n’a donc pas force de loi. On peut espérer toutefois que si le nombre de participants est significatif, chaque député, à la vue des opinions émises dans sa circonscription, en tiendra compte au parlement. Sinon, il faudra changer de député.
mardi 19 octobre 2010
Amplifier le mouvement Un auto réferendum par correspondance
19-10-10 http ://pas2012.free.fr/
Il est exaspérant d’entendre les représentants du gouvernement minimiser d’au moins 70 % les participants aux manifs.
Pour m’être cinq fois de suite livré à un comptage particulier cours Gambetta à Lyon : 15/20 personnes en rang très serré, 35 à 40 rangs en une minute, densité maintenue pendant plus d’une heure et demi, cela fait de l’ordre de 30000 personnes. La CGT a annoncé la première fois 32000, ensuite 38000, puis 43000. Et aujourd’hui, ces chiffres devraient être dépassés. Donc, les évaluations semblent honnêtes.
Et pendant ce temps là, le gouvernement continue à refuser une vraie négociation et fait voter par ses godillots parlementaires une adaptation injuste des conditions de départ en retraite.
Il laisse ainsi dans l’ombre le problème fondamental : Une réduction massive du chômage. Il s’accroche à son miroir aux alouettes : 3 % de croissance en plus. Mais ses supplétifs du Fouquets ne savent pas ou ne veulent pas le faire. D’ailleurs, Chinois, Indiens, Brésiliens agissent en sens inverse.
Donc pour les tenants de l’économie libérale, il faut fait payer les salariés, puisque le crédo de leur secte est : Pas d’impôts sur les riches ( Revenus nets supérieurs à 15000 € mois - Patrimoine supérieur à 2 millions ).
Pour contrer le « législatif « aux ordres du pouvoir élyséen actuel, il nous faut inventer quelque chose de « légitime «. Pas un sondage d’opinion. Une consultation auto référendaire par correspondance. ( à suivre vendredi 22/10/10 )
Ce n’est pas mépriser Internet. Tout le monde n’a pas Internet. Ne pas compter sur la rue est raisonnable. Elle donne une ambiance et une température du mécontentement. Elle présente les risques que l'on connaît avec les apprentis en désordre. Un auto referendum rappellera aux députés que la légitimité est dans le peuple ( en démocratie évidemment ).
Il est exaspérant d’entendre les représentants du gouvernement minimiser d’au moins 70 % les participants aux manifs.
Pour m’être cinq fois de suite livré à un comptage particulier cours Gambetta à Lyon : 15/20 personnes en rang très serré, 35 à 40 rangs en une minute, densité maintenue pendant plus d’une heure et demi, cela fait de l’ordre de 30000 personnes. La CGT a annoncé la première fois 32000, ensuite 38000, puis 43000. Et aujourd’hui, ces chiffres devraient être dépassés. Donc, les évaluations semblent honnêtes.
Et pendant ce temps là, le gouvernement continue à refuser une vraie négociation et fait voter par ses godillots parlementaires une adaptation injuste des conditions de départ en retraite.
Il laisse ainsi dans l’ombre le problème fondamental : Une réduction massive du chômage. Il s’accroche à son miroir aux alouettes : 3 % de croissance en plus. Mais ses supplétifs du Fouquets ne savent pas ou ne veulent pas le faire. D’ailleurs, Chinois, Indiens, Brésiliens agissent en sens inverse.
Donc pour les tenants de l’économie libérale, il faut fait payer les salariés, puisque le crédo de leur secte est : Pas d’impôts sur les riches ( Revenus nets supérieurs à 15000 € mois - Patrimoine supérieur à 2 millions ).
Pour contrer le « législatif « aux ordres du pouvoir élyséen actuel, il nous faut inventer quelque chose de « légitime «. Pas un sondage d’opinion. Une consultation auto référendaire par correspondance. ( à suivre vendredi 22/10/10 )
Ce n’est pas mépriser Internet. Tout le monde n’a pas Internet. Ne pas compter sur la rue est raisonnable. Elle donne une ambiance et une température du mécontentement. Elle présente les risques que l'on connaît avec les apprentis en désordre. Un auto referendum rappellera aux députés que la légitimité est dans le peuple ( en démocratie évidemment ).
samedi 16 octobre 2010
Croissance à droite - plein emploi à gauche
16-10-10 http ://pas2012.free.fr/
Pour de nombreux exégètes des média, les deux principales formations politiques seraient sur la même ligne de pensée : la sociale démocratie.
Et le PS fait simplement de la surenchère, sans vouloir admettre que l’Etat providence est d’une autre époque. La dette et les déficits budgétaires mettent les pendules à la même heure, celle de la rigueur pour 80 % de la population. ( Il n’y a rien à tirer des très pauvres. Et les très riches sont inaccessibles, souvent « ailleurs « ) ..
Qui tordra le cou à cette confusion ? Certainement pas les deux compétiteurs susurrés Sarkozy/Strauss-Kahn. Ils sont du même tonneau, avec un avantage pour Nicolas, authentiquement de droite.
Il est encore temps ( de l’ordre de douze mois : Octobre 2011 ) de laisser de coté les avocats vedettes suggérés par les média et d’aborder clairement la confrontation Capitalisme – Socialisme ;
En chapeau, on peut démontrer : A droite, le capitalisme est une mécanique d’accumulation des profits qui laisse quelques reliefs au travail : Une économie qui consent quelques avancées sociales.
A gauche, l’espérance d’une société de Justice sociale. Elle utilise l’économie pour le bien commun. Le capital est un outil que la collectivité emprunte.
Pour de nombreux exégètes des média, les deux principales formations politiques seraient sur la même ligne de pensée : la sociale démocratie.
Et le PS fait simplement de la surenchère, sans vouloir admettre que l’Etat providence est d’une autre époque. La dette et les déficits budgétaires mettent les pendules à la même heure, celle de la rigueur pour 80 % de la population. ( Il n’y a rien à tirer des très pauvres. Et les très riches sont inaccessibles, souvent « ailleurs « ) ..
Qui tordra le cou à cette confusion ? Certainement pas les deux compétiteurs susurrés Sarkozy/Strauss-Kahn. Ils sont du même tonneau, avec un avantage pour Nicolas, authentiquement de droite.
Il est encore temps ( de l’ordre de douze mois : Octobre 2011 ) de laisser de coté les avocats vedettes suggérés par les média et d’aborder clairement la confrontation Capitalisme – Socialisme ;
En chapeau, on peut démontrer : A droite, le capitalisme est une mécanique d’accumulation des profits qui laisse quelques reliefs au travail : Une économie qui consent quelques avancées sociales.
A gauche, l’espérance d’une société de Justice sociale. Elle utilise l’économie pour le bien commun. Le capital est un outil que la collectivité emprunte.
mardi 12 octobre 2010
La loi sur les retraites dans la mauvaise direction
12-10-10 http ://pas2012.free.fr/
Date qui fera » date «. Il faut la ténacité des syndicats, la révolte d’une majorité de citoyens pour réclamer dans la rue qu’une modification unilatérale du régime de retraite, qui les concerne directement, devienne une « loi «
Depuis le début de cette opération législative, les salariés réclament une négociation. Ils auraient pu ainsi mettre sur la table le véritable enjeu. Diminuer régulièrement le chômage, notamment celui des jeunes et des séniors pour que l’épargne retraite se gonfle pour assurer des retraites de dignité.
A 55 ans ? 57 , 60, 62 ? Les parcours des femmes et des hommes sont chacun différent. Chances ? hasard ? santé ? famille, logement, opportunités ? secteur d’activités ? localisation , ? Une « loi « surtout à la hussarde ne saurait répondre au « sur mesure «. Ce n’est pas un luxe mais simple justice en fin de vie professionnelle. Des accords de branche coordonnés entre professions, selon les cultures régionales permettraient de concilier bien être et finances.
Mais il y a plus grave. L’application de notre constitution, à la sauce Sarkozy, vide la démocratie. Elle rend même « lâche « la majorité officielle actuelle de la représentation nationale, populairement très minoritaire, Et lorsque la charpente est pourrie, le toit s’effondre.
Bien sûr, il n’y aurait que vingt mois à attendre, mais la situation générale de notre pays peut elle se « payer « un tel délai pour s’en sortir ? A la crise financière encore sous-jacente, avec la crise sociale qui s’amplifie, c’est un crime contre la nation de piétiner la démocratie.
Date qui fera » date «. Il faut la ténacité des syndicats, la révolte d’une majorité de citoyens pour réclamer dans la rue qu’une modification unilatérale du régime de retraite, qui les concerne directement, devienne une « loi «
Depuis le début de cette opération législative, les salariés réclament une négociation. Ils auraient pu ainsi mettre sur la table le véritable enjeu. Diminuer régulièrement le chômage, notamment celui des jeunes et des séniors pour que l’épargne retraite se gonfle pour assurer des retraites de dignité.
A 55 ans ? 57 , 60, 62 ? Les parcours des femmes et des hommes sont chacun différent. Chances ? hasard ? santé ? famille, logement, opportunités ? secteur d’activités ? localisation , ? Une « loi « surtout à la hussarde ne saurait répondre au « sur mesure «. Ce n’est pas un luxe mais simple justice en fin de vie professionnelle. Des accords de branche coordonnés entre professions, selon les cultures régionales permettraient de concilier bien être et finances.
Mais il y a plus grave. L’application de notre constitution, à la sauce Sarkozy, vide la démocratie. Elle rend même « lâche « la majorité officielle actuelle de la représentation nationale, populairement très minoritaire, Et lorsque la charpente est pourrie, le toit s’effondre.
Bien sûr, il n’y aurait que vingt mois à attendre, mais la situation générale de notre pays peut elle se « payer « un tel délai pour s’en sortir ? A la crise financière encore sous-jacente, avec la crise sociale qui s’amplifie, c’est un crime contre la nation de piétiner la démocratie.
dimanche 10 octobre 2010
Nicolas en retraite !
8-10-10 http ://pas2012.free.fr/
Sérieux, courageux, lucide…… soyons de » bons français, », comme le demande E. Besson.
Un aggiornamento de notre idéal républicain, de notre identité nationale ne s’impose t-il pas ? :
Liberté ? Celle des » chacun pour soi « – Egalité ? Inventons le concept des pratiques actuelles : « L’inégalité acceptable « c’est à dire des citoyens à moins de 800 euros et une cabane à la retraite d’un côté, de l’autre, :de « riches importantes personnes plus de « 15000 euros nets par mois et des patrimoines de plus de 20 millions, au moment de leurs soixante ans.
Quant à la - Fraternité ? Chacun dans son carré de choux. Les bestiaux seront bien gardés.
Heureusement La France est éternelle, Et le bon sens y reste le mieux partagé du monde.
Nicolas Sarkosy en « retraite » ? Voilà ce qui serait une vraie réforme de son quinquennat, à la suite de ses contreperformances. Dette insupportable – Déficit budgétaire – déficit du commerce extérieur – accroissement du chômage et la précarité. - Mal logés……
Sérieux, courageux, lucide…… soyons de » bons français, », comme le demande E. Besson.
Un aggiornamento de notre idéal républicain, de notre identité nationale ne s’impose t-il pas ? :
Liberté ? Celle des » chacun pour soi « – Egalité ? Inventons le concept des pratiques actuelles : « L’inégalité acceptable « c’est à dire des citoyens à moins de 800 euros et une cabane à la retraite d’un côté, de l’autre, :de « riches importantes personnes plus de « 15000 euros nets par mois et des patrimoines de plus de 20 millions, au moment de leurs soixante ans.
Quant à la - Fraternité ? Chacun dans son carré de choux. Les bestiaux seront bien gardés.
Heureusement La France est éternelle, Et le bon sens y reste le mieux partagé du monde.
Nicolas Sarkosy en « retraite » ? Voilà ce qui serait une vraie réforme de son quinquennat, à la suite de ses contreperformances. Dette insupportable – Déficit budgétaire – déficit du commerce extérieur – accroissement du chômage et la précarité. - Mal logés……
vendredi 1 octobre 2010
Il faut trouver 800 milliards Monsieur Fillon.
Reconstitution de fortune
- De même qu’il y a reconstitution de parcours professionnel pour la retraite, il faut reconstituer les enrichissements sans cause. - La procédure serait appliquée à tout citoyen dont le revenu est supérieur à 15000 euros net mensuel ou qui dispose d’un patrimoine de plus de 20 millions d’euros.
- Le citoyen X. a un patrimoine de 10 millions de frs, soit en euros 1,5 millions d’euros en 1973 ( premier choc pétrolier ). L’enrichissement normal retenu est de 3 % d’inflation annuel et de 4 % d’intérêts - soit en 37 ans - dix fois plus. Le patrimoine 2010 « normal » est de 15 millions d’euros.
- Or Le citoyen X dispose d’un patrimoine de 50 millions. 35 millions ne viennent pas de son « travail « mais d’un enrichissement par investissements en cascades, particulièrement « rentables « , éventuellement de spéculation, de fraude fiscale. Il y a une bonne part dans ces 35 millions d’enrichissement « particulier » au détriment du bien public.
-
- L’Etat » emprunte 50 % de cette plus value, remboursable à 70 % sur 5 ans, les années où le budget de la Nation est équilibré.
- Fuite des capitaux ? La gauche a une autre morale. Le peuple héritier de 1789 n’a pas besoin dans son panier de fruits véreux.
Rapporteur philippe.wolfrom@orange. fr http://pas2012.free.fr
- De même qu’il y a reconstitution de parcours professionnel pour la retraite, il faut reconstituer les enrichissements sans cause. - La procédure serait appliquée à tout citoyen dont le revenu est supérieur à 15000 euros net mensuel ou qui dispose d’un patrimoine de plus de 20 millions d’euros.
- Le citoyen X. a un patrimoine de 10 millions de frs, soit en euros 1,5 millions d’euros en 1973 ( premier choc pétrolier ). L’enrichissement normal retenu est de 3 % d’inflation annuel et de 4 % d’intérêts - soit en 37 ans - dix fois plus. Le patrimoine 2010 « normal » est de 15 millions d’euros.
- Or Le citoyen X dispose d’un patrimoine de 50 millions. 35 millions ne viennent pas de son « travail « mais d’un enrichissement par investissements en cascades, particulièrement « rentables « , éventuellement de spéculation, de fraude fiscale. Il y a une bonne part dans ces 35 millions d’enrichissement « particulier » au détriment du bien public.
-
- L’Etat » emprunte 50 % de cette plus value, remboursable à 70 % sur 5 ans, les années où le budget de la Nation est équilibré.
- Fuite des capitaux ? La gauche a une autre morale. Le peuple héritier de 1789 n’a pas besoin dans son panier de fruits véreux.
Rapporteur philippe.wolfrom@orange. fr http://pas2012.free.fr
vendredi 24 septembre 2010
Retraite méritée
23-09-10 blog :.alter socialisme.blogspot.com site : http://pas2012.free.fr/
Difficile de rentrer dans cette perspective du président Sarkozy. Sa « réforme « des retraites serait sa réforme « phare « de son quinquennat. Ce n’est en réalité qu’une application de plus de sa politique « Travailler plus pour gagner plus « .
Ce n’est d’ailleurs pas une « réforme « mais une adaptation – L‘espérance de vie augmente, les cotisations doivent augmenter –
Cette agitation est grave. Le pouvoir en place et son opposition officielle, partent d’une hypothèse scandaleuse. Il y a aujourd’hui 20 milliards de déficit du régime des retraites, dans quinze ans, le déficit sera de 60 milliards.
Ils ne soulignent pas, dans les mêmes conditions de température et de pression : 4 millions de chômeurs et 6 millions d’emplois précaires, occasionnels.
On ne peut attendre, évidemment d’un tenant du capitalisme pur et dur, même s’il évoque hypocritement une moralisation à sa façon, un autre chemin.
L’emploi est pour lui une simple conséquence de la croissance. Croissance résultante d’une politique financière d’accroissement de taux de rendement et rentabilité des capitaux investis, alimentée pourquoi pas d’armes de destruction plus ou moins massives et à chaque occasion, d’accaparement des ressources du tiers monde.
Il faut préparer 2012, pour entreprendre cette fois-ci de vraiment « changer la vie « .
Difficile de rentrer dans cette perspective du président Sarkozy. Sa « réforme « des retraites serait sa réforme « phare « de son quinquennat. Ce n’est en réalité qu’une application de plus de sa politique « Travailler plus pour gagner plus « .
Ce n’est d’ailleurs pas une « réforme « mais une adaptation – L‘espérance de vie augmente, les cotisations doivent augmenter –
Cette agitation est grave. Le pouvoir en place et son opposition officielle, partent d’une hypothèse scandaleuse. Il y a aujourd’hui 20 milliards de déficit du régime des retraites, dans quinze ans, le déficit sera de 60 milliards.
Ils ne soulignent pas, dans les mêmes conditions de température et de pression : 4 millions de chômeurs et 6 millions d’emplois précaires, occasionnels.
On ne peut attendre, évidemment d’un tenant du capitalisme pur et dur, même s’il évoque hypocritement une moralisation à sa façon, un autre chemin.
L’emploi est pour lui une simple conséquence de la croissance. Croissance résultante d’une politique financière d’accroissement de taux de rendement et rentabilité des capitaux investis, alimentée pourquoi pas d’armes de destruction plus ou moins massives et à chaque occasion, d’accaparement des ressources du tiers monde.
Il faut préparer 2012, pour entreprendre cette fois-ci de vraiment « changer la vie « .
mardi 22 juin 2010
21-06-10 Présidentiel programme alter socialiste.blogspot.com
Le débat sur les retraites est surréaliste. Il montre le mal français de la haute politique actuelle, comme ce fut le cas pour dégager les crédits du RSA, la vignette des vieux, la journée
- On essaie de faire « payer » - en circuit fermé - les ayants droits en oubliant qu‘une partie importante des plus values apportée par leur travail est prélevée par les apporteurs de capitaux.
- On gamberge et ratiocine à situation figée, sur une hypothèse scandaleuse : Il y aura autant de chômeurs et d’emplois précaires dans cinq ans.
- La croissance » externe « apportera le salut. Le miroir aux alouettes. Or si une armée n‘est pas suffisamment opérationnelle, ce sont les mauvais chefs qu’il faut remplacer.
- 40 ans de cotisations sur tous les revenus devraient suffire.
http//pas2012.free.fr/
Le débat sur les retraites est surréaliste. Il montre le mal français de la haute politique actuelle, comme ce fut le cas pour dégager les crédits du RSA, la vignette des vieux, la journée
- On essaie de faire « payer » - en circuit fermé - les ayants droits en oubliant qu‘une partie importante des plus values apportée par leur travail est prélevée par les apporteurs de capitaux.
- On gamberge et ratiocine à situation figée, sur une hypothèse scandaleuse : Il y aura autant de chômeurs et d’emplois précaires dans cinq ans.
- La croissance » externe « apportera le salut. Le miroir aux alouettes. Or si une armée n‘est pas suffisamment opérationnelle, ce sont les mauvais chefs qu’il faut remplacer.
- 40 ans de cotisations sur tous les revenus devraient suffire.
http//pas2012.free.fr/
samedi 3 avril 2010
Plein emploi : Constat.
3 - Quatre mirages.
L’incantation à laquelle on nous soumet - 1 point de croissance en plus conduise à 600000 emplois supplémentaires - est apparemment une évidence mathématique favorable. Elle comporte au moins quatre inconvénients majeurs
31 ) - La croissance suppose plus de volume, plus de chiffres d’affaire ( Nous les supposerons une fois pour toute rentables : des clients qui payent des marchandises utiles qui laissent une bonne marge ! ).
Evidemment on pense tout de suite aux chinois, aux indiens, aux habitants de continents émergeants ayant des besoins de produits manufacturés.
Eux en sens inverse pensent à se développer grâce à nos capacités d’achats jugées importantes. Un équilibre export-import serait déjà un bon point.
Une croissance durable grâce à eux fait partie des vœux pieux. C’est le pari qu’ils auront longtemps besoin de nous
32 ) - La croissance n’est pas synonyme de bien public. Ce qui est en production chez nous n’est pas forcément une panacée universelle :- Cultiver du blé pour obtenir des biocarburants …- vendre des sous marins, des armes… quand on se veut pacifique……- développer un tourisme de nababs, quand 10 % de notre population est en souffrance……produire des gadgets……peuvent nous faire sortir du raisonnable, nous faire rechercher, investir dans des activités qui accroissent notre dépendance, pas le bien être.
33 ) - La croissance est évaluée en moyenne générale, tous secteurs et tous bénéficiaires confondus.
Or 10 % de notre population est en déshérence, croissance très négative, 10 % de concitoyens ont une croissance exponentielle, 80 % ont une croissance d’entretien à niveau constant.
La moyenne peut être positive avec une forte augmentation des inégalités. C’est ce que nous avons vécu depuis la fin des années 70.
34 ) - Nos concitoyens en stand bail et bien sûr ceux en déshérence peuvent vivre mieux grâce à un effort intelligent de productivité générale, dans le cadre d’une organisation plus rationnelle de la vie.
Moins de transports, plus de confort des habitations, plus d’éducation en petits groupes, plus de culture, moins d’emballages, moins de déchets, plus de récupération de matières, plus de recherche appliquée, moins de réglementations, moins de pertes de temps dans les entreprises, plus de vie citoyenne et familiale……apporteront un complément de bien être individuel et collectif.
Il faut se débarrasser de ce concept généraliste, fumeux de croissance globale, d’autant plus qu’à l’échelle d’un pays, à fortiori, au niveau des continents, il n’est pas maitrisé par des pouvoirs politiques centralisés.
L’expression de développement durable est plus riche de sens, plus humaine et sociale que la croissance.
Encore faut-il constater que les objectifs et mesures de progrès sont rarement explicités. Un taux de chômage ne tiendra pas compte des emplois précaires, du stress au travail, des angoisses de réduction d’effectifs.
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3 - Quatre mirages.
L’incantation à laquelle on nous soumet - 1 point de croissance en plus conduise à 600000 emplois supplémentaires - est apparemment une évidence mathématique favorable. Elle comporte au moins quatre inconvénients majeurs
31 ) - La croissance suppose plus de volume, plus de chiffres d’affaire ( Nous les supposerons une fois pour toute rentables : des clients qui payent des marchandises utiles qui laissent une bonne marge ! ).
Evidemment on pense tout de suite aux chinois, aux indiens, aux habitants de continents émergeants ayant des besoins de produits manufacturés.
Eux en sens inverse pensent à se développer grâce à nos capacités d’achats jugées importantes. Un équilibre export-import serait déjà un bon point.
Une croissance durable grâce à eux fait partie des vœux pieux. C’est le pari qu’ils auront longtemps besoin de nous
32 ) - La croissance n’est pas synonyme de bien public. Ce qui est en production chez nous n’est pas forcément une panacée universelle :- Cultiver du blé pour obtenir des biocarburants …- vendre des sous marins, des armes… quand on se veut pacifique……- développer un tourisme de nababs, quand 10 % de notre population est en souffrance……produire des gadgets……peuvent nous faire sortir du raisonnable, nous faire rechercher, investir dans des activités qui accroissent notre dépendance, pas le bien être.
33 ) - La croissance est évaluée en moyenne générale, tous secteurs et tous bénéficiaires confondus.
Or 10 % de notre population est en déshérence, croissance très négative, 10 % de concitoyens ont une croissance exponentielle, 80 % ont une croissance d’entretien à niveau constant.
La moyenne peut être positive avec une forte augmentation des inégalités. C’est ce que nous avons vécu depuis la fin des années 70.
34 ) - Nos concitoyens en stand bail et bien sûr ceux en déshérence peuvent vivre mieux grâce à un effort intelligent de productivité générale, dans le cadre d’une organisation plus rationnelle de la vie.
Moins de transports, plus de confort des habitations, plus d’éducation en petits groupes, plus de culture, moins d’emballages, moins de déchets, plus de récupération de matières, plus de recherche appliquée, moins de réglementations, moins de pertes de temps dans les entreprises, plus de vie citoyenne et familiale……apporteront un complément de bien être individuel et collectif.
Il faut se débarrasser de ce concept généraliste, fumeux de croissance globale, d’autant plus qu’à l’échelle d’un pays, à fortiori, au niveau des continents, il n’est pas maitrisé par des pouvoirs politiques centralisés.
L’expression de développement durable est plus riche de sens, plus humaine et sociale que la croissance.
Encore faut-il constater que les objectifs et mesures de progrès sont rarement explicités. Un taux de chômage ne tiendra pas compte des emplois précaires, du stress au travail, des angoisses de réduction d’effectifs.
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lundi 22 mars 2010
Plein emploi : Un constat
1 - Offre actuelle d’emplois.
L’activité économique - comprise comme celle qui fournit un revenu de dignité à chaque citoyen et contribue au bien public - est répartie aujourd’hui en trois secteurs d’activités qui laissent, sur le bas côté, 4 millions de demandeurs d’emploi. :
- Le secteur des services publics, subventionné à 100 %.
- Le secteur des entreprises nationalisées, subventionnées entre 10 et 30 %.
- Le secteur des initiatives privées, qui en principe se développent grâce à leurs seuls bénéfices. On notera toutefois que depuis plus de trente ans, de nombreuses mesures “ pour l’emploi ”, attribuées par les pouvoirs publics, ont écorné ce principe de jalouse indépendance par rapport à l’Etat.
En chiffres pour 30 millions d’employés :
- services publics : 5 millions - entreprises publiques : 2 millions - entreprises privées 19 millions
sous total 26 millions - demandeurs d’emploi 4 millions.
2 - Quelle croissance, pour qui ?
S’il est clair que les 7 millions d’emplois d’agents publics ne peuvent être que des contratsà durée indéterminée sur au moins 9 voir 18 ans,
le secteur privé n’assure dans les temps qui courent, des contrats de longue durée au plus grand nombre qu’en fonction d’un volume élevé de ses carnets de commande rentables.
Les baisses de conjoncture conduisent mathématiquement à des adaptations de la masse salariale douloureuse. Nous avons vu des secteurs entiers tenter de survivre en se délocalisant, d’autres disparaître ( chaussures, textiles, machines outils…).
Le plein emploi n’est pas un objectif du secteur privé, mais une situation occasionnelle due à une activité favorable.… Plus de commandes, plus d’embauches. … Moins d’activités, diminution de la masse salariale et des approvisionnements auprès des fournisseurs. La croissance est une résultante aléatoire. Elle survient par beau temps économique.
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1 - Offre actuelle d’emplois.
L’activité économique - comprise comme celle qui fournit un revenu de dignité à chaque citoyen et contribue au bien public - est répartie aujourd’hui en trois secteurs d’activités qui laissent, sur le bas côté, 4 millions de demandeurs d’emploi. :
- Le secteur des services publics, subventionné à 100 %.
- Le secteur des entreprises nationalisées, subventionnées entre 10 et 30 %.
- Le secteur des initiatives privées, qui en principe se développent grâce à leurs seuls bénéfices. On notera toutefois que depuis plus de trente ans, de nombreuses mesures “ pour l’emploi ”, attribuées par les pouvoirs publics, ont écorné ce principe de jalouse indépendance par rapport à l’Etat.
En chiffres pour 30 millions d’employés :
- services publics : 5 millions - entreprises publiques : 2 millions - entreprises privées 19 millions
sous total 26 millions - demandeurs d’emploi 4 millions.
2 - Quelle croissance, pour qui ?
S’il est clair que les 7 millions d’emplois d’agents publics ne peuvent être que des contratsà durée indéterminée sur au moins 9 voir 18 ans,
le secteur privé n’assure dans les temps qui courent, des contrats de longue durée au plus grand nombre qu’en fonction d’un volume élevé de ses carnets de commande rentables.
Les baisses de conjoncture conduisent mathématiquement à des adaptations de la masse salariale douloureuse. Nous avons vu des secteurs entiers tenter de survivre en se délocalisant, d’autres disparaître ( chaussures, textiles, machines outils…).
Le plein emploi n’est pas un objectif du secteur privé, mais une situation occasionnelle due à une activité favorable.… Plus de commandes, plus d’embauches. … Moins d’activités, diminution de la masse salariale et des approvisionnements auprès des fournisseurs. La croissance est une résultante aléatoire. Elle survient par beau temps économique.
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lundi 1 février 2010
Impossible n'est pas Français
L'opinion la plus répandue. C'est utopique, un rêve impossible. On a vu cette situation à la sortie de la seconde guerre mondiale, période de reconstruction.
Depuis 1974, premier choc pétrolier, la situation, en France stagne 8 - 9 - 10 % de la population active : 30 millions environ, il ya 3 maintenant 4 millions de demandeurs d'emploi.
Si l'on admet 7 millions de citoyens dans les services publics, le calcul est simple 23 millions d'emplois " doivent " être créés par le secteur privé ! Secteur où rentabilité et productivité sont les deux mamelles du développement. Calcul effectué très régulièrement par le grnd chef sioux Yaka-faucon.
L'équation est simple: Pour que 23 millions de citoyens aient un revenu, il faut l'équivalent de 37 milliard d'heures de travail, correspondant à ce volume de commandes, provenant de clients solvables ( évidemment ). Comme aujourdhui le PIb n'en réolte que 33 milliards, il y a 10 % de chômage. ET 4 milliards d'heures en plus, cela ne se trouve pas en claquant des doigts, sous les sabots d'un cheval.
Nous connaissons tous le cri de guerre du grand chef : Croissance… croissance. Quoi ? Qui ? Où ? Quand ? Comment ? l'incantation ne le dit pas.
C'est aborder le problème par l'aval du fleuve. Le courant est tel que le remonter sera vite décourageant. Il faut donc partir de l'amont.
La Justice sociale dans un pays comme la France exige un revenu de dignité pour chaque citoyen : Quand, il esr enfant puis adolescent, par sess parents, quand il est adulte, par lui-même, quand il est en retraite, par la collectivté.
Depuis 1974, premier choc pétrolier, la situation, en France stagne 8 - 9 - 10 % de la population active : 30 millions environ, il ya 3 maintenant 4 millions de demandeurs d'emploi.
Si l'on admet 7 millions de citoyens dans les services publics, le calcul est simple 23 millions d'emplois " doivent " être créés par le secteur privé ! Secteur où rentabilité et productivité sont les deux mamelles du développement. Calcul effectué très régulièrement par le grnd chef sioux Yaka-faucon.
L'équation est simple: Pour que 23 millions de citoyens aient un revenu, il faut l'équivalent de 37 milliard d'heures de travail, correspondant à ce volume de commandes, provenant de clients solvables ( évidemment ). Comme aujourdhui le PIb n'en réolte que 33 milliards, il y a 10 % de chômage. ET 4 milliards d'heures en plus, cela ne se trouve pas en claquant des doigts, sous les sabots d'un cheval.
Nous connaissons tous le cri de guerre du grand chef : Croissance… croissance. Quoi ? Qui ? Où ? Quand ? Comment ? l'incantation ne le dit pas.
C'est aborder le problème par l'aval du fleuve. Le courant est tel que le remonter sera vite décourageant. Il faut donc partir de l'amont.
La Justice sociale dans un pays comme la France exige un revenu de dignité pour chaque citoyen : Quand, il esr enfant puis adolescent, par sess parents, quand il est adulte, par lui-même, quand il est en retraite, par la collectivté.
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