1-02-11 http://pas2012.free.fr/ blogs Plein emploi-stratégie volontariste Programme Alter socialiste.
Les primaires sont un galop d’essai. L’élection, la vraie, se jouera au premier tour du scrutin en Avril 2012. Il faudra alors, même s’il y a plusieurs candidats de gauche, un programme commun, au moins la charpente d’un programme commun, sur les sujets essentiels : Marche vers le plein emploi, logements accessibles, éducation nationale, échéancier de remboursement de la dette, réforme fiscale, décentralisation effective…
Un programme crédible, de « changer la société par une véritable Justice sociale « , est crucial pour gagner au second tour, Certes le porte parole, le candidat, est important, mais la démocratie ce n’est pas un président monarque. Les lois relèvent du parlement.
Les primaires vont probablement être organisées « parti socialiste « alors qu’il faudrait qu’elles soient de gauche. Obtenons à minima que le bulletin de celui qui voterait « Eva Joly ou Besancenot à la primaire « socialiste « « ne soit pas considéré comme » nul « mais bien au contraire, comme une proposition parfaitement honnête. La gauche est riche de ses diversités, qu’elle n’en fasse pas des divisions, des guerres idéologiques. C’est l’union qui gagnera, pas un homme ou une femme providentielle.
lundi 31 janvier 2011
Des primaires de gauche
1-02-11 http://pas2012.free.fr/ blogs Plein emploi-stratégie volontariste Programme Alter socialiste.
Les primaires sont un galop d’essai. L’élection, la vraie, se jouera au premier tour du scrutin en Avril 2012. Il faudra alors, même s’il y a plusieurs candidats de gauche, un programme commun, au moins la charpente d’un programme commun, sur les sujets essentiels : Marche vers le plein emploi, logements accessibles, éducation nationale, échéancier de remboursement de la dette, réforme fiscale, décentralisation effective…
Un programme crédible, de « changer la société par une véritable Justice sociale « , est crucial pour gagner au second tour, Certes le porte parole, le candidat, est important, mais la démocratie ce n’est pas un président monarque. Les lois relèvent du parlement.
Les primaires vont probablement être organisées « parti socialiste « alors qu’il faudrait qu’elles soient de gauche. Obtenons à minima que le bulletin de celui qui voterait « Eva Joly ou Besancenot à la primaire « socialiste « « ne soit pas considéré comme » nul « mais bien au contraire, comme une proposition parfaitement honnête. La gauche est riche de ses diversités, qu’elle n’en fasse pas des divisions, des guerres idéologiques. C’est l’union qui gagnera, pas un homme ou une femme providentielle.
Les primaires sont un galop d’essai. L’élection, la vraie, se jouera au premier tour du scrutin en Avril 2012. Il faudra alors, même s’il y a plusieurs candidats de gauche, un programme commun, au moins la charpente d’un programme commun, sur les sujets essentiels : Marche vers le plein emploi, logements accessibles, éducation nationale, échéancier de remboursement de la dette, réforme fiscale, décentralisation effective…
Un programme crédible, de « changer la société par une véritable Justice sociale « , est crucial pour gagner au second tour, Certes le porte parole, le candidat, est important, mais la démocratie ce n’est pas un président monarque. Les lois relèvent du parlement.
Les primaires vont probablement être organisées « parti socialiste « alors qu’il faudrait qu’elles soient de gauche. Obtenons à minima que le bulletin de celui qui voterait « Eva Joly ou Besancenot à la primaire « socialiste « « ne soit pas considéré comme » nul « mais bien au contraire, comme une proposition parfaitement honnête. La gauche est riche de ses diversités, qu’elle n’en fasse pas des divisions, des guerres idéologiques. C’est l’union qui gagnera, pas un homme ou une femme providentielle.
samedi 8 janvier 2011
Une autre organisation de la société
8-01-11 http://pas2012.free.fr/ blogs Plein emploi-stratégie volontariste Programme Alter socialiste.
Exigeons un nouveau jeu de cartes. Celles utilisées par les professionnels de la politique nationale dans notre pays, sont éculées, biseautées, repérables.
Le marché du travail, les importations en commerce gadget, la concurrence, arrosée ici et là de rétro commissions, la mondialisation financière, les délocalisations, les fluctuations monétaires, la responsabilité individuelle, créatrice d’activités soit disant bénéfiques pour la Nation, la propriété des capitaux qui donne paraît-il un brevet de capacité de management…
Exigeons surtout un autre jeu que ce poker menteur de la croissance. Cette expansion tous azimuts, conduite par des intérêts privés, assoiffés de rendement et de rentabilité, non seulement sans référence à l’intérêt général, mais également en contradiction avec le bien public. Comme si la somme désordonnée d’actions individuelles pouvait remplacée la cohérence, la coordination, la programmation rationnelle des investissements et de la consommation nécessaires au bien commun.
Il est frappant et décourageant de constater que les leaders politiques nationaux restent dans les mêmes ornières qui ont conduit notre monde à toujours plus d’inégalités scandaleuses.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’innovation, l’imagination ne sont guère au pouvoir. Pour se dégager de l’enlisement égoïste dont quelques uns profitent de façon indécente, il faut avoir recours à l’Organisation : L ‘analyse scientifique des besoins, l’évaluation des moyens, la programmation rationnelle des actions à mener. Il faut évidemment que cette Organisation soit inspirée de Justice sociale, ce qui suppose de retirer le pouvoir à l’argent et de le mettre à sa place : un élément de mesure et un outil.
Exigeons un nouveau jeu de cartes. Celles utilisées par les professionnels de la politique nationale dans notre pays, sont éculées, biseautées, repérables.
Le marché du travail, les importations en commerce gadget, la concurrence, arrosée ici et là de rétro commissions, la mondialisation financière, les délocalisations, les fluctuations monétaires, la responsabilité individuelle, créatrice d’activités soit disant bénéfiques pour la Nation, la propriété des capitaux qui donne paraît-il un brevet de capacité de management…
Exigeons surtout un autre jeu que ce poker menteur de la croissance. Cette expansion tous azimuts, conduite par des intérêts privés, assoiffés de rendement et de rentabilité, non seulement sans référence à l’intérêt général, mais également en contradiction avec le bien public. Comme si la somme désordonnée d’actions individuelles pouvait remplacée la cohérence, la coordination, la programmation rationnelle des investissements et de la consommation nécessaires au bien commun.
Il est frappant et décourageant de constater que les leaders politiques nationaux restent dans les mêmes ornières qui ont conduit notre monde à toujours plus d’inégalités scandaleuses.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’innovation, l’imagination ne sont guère au pouvoir. Pour se dégager de l’enlisement égoïste dont quelques uns profitent de façon indécente, il faut avoir recours à l’Organisation : L ‘analyse scientifique des besoins, l’évaluation des moyens, la programmation rationnelle des actions à mener. Il faut évidemment que cette Organisation soit inspirée de Justice sociale, ce qui suppose de retirer le pouvoir à l’argent et de le mettre à sa place : un élément de mesure et un outil.
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